Maura Isles, médecin légiste, et Jane Rizzoli, inspecteur de police, sont les vedettes d’une série télévisée américaine.
Comme d’habitudes j’ai commencé par la fin, attaquant le huitième de la série alors que le premier me tendait
les bras sa couverture.
Maura a disparu, enfin, pas tout à fait, car nous suivons les péripéties de ses aventures tandis que Jane Rizzoli, sa copine fliquette aidé de Gabriel, son mari FBIen, enquête pour la retrouver et que Daniel Brophy son amant de curé se morfond et bat sa coulpe pour lui avoir manifesté moins d’affection.
Que s’est-il donc passé ?
Alors que sa relation amoureuse bat de l’aile, Maura se rend à un colloque de médecins légistes au Wyoming. Elle y rencontre un de ses anciens condisciples d’université, bel homme divorcé qui lui propose un week-end en montagne avec sa fille adolescente et un couple d’amis.
Rien ne se passe comme prévu. Ils sont pris dans une tempête de neige et le GPS les dirige sur une route abandonnée où leur voiture de location s’enneige*. Téléphones sans connexions, ils s’enfoncent dans le blizzard et arrivent dans un hameau qui semble avoir été abandonné précipitamment.
*J’aurais pu écrire s’encongère.
Poussés par l’inquiétude de Daniel, Jane et Gabriel se rendent au Wyoming mais la découverte de la voiture brûlée au fond d’un ravin avec quatre cadavres difficilement identifiables stoppe toutes recherches.
Après vérification des empreintes dentaire, Maura ne se trouve pas parmi les victimes.
Qu’est-elle devenue ?
Vous combinez une secte à tendances pédophiles, un charnier, une riche multinationale malintentionnée et tout un tas de sauvageries ; un vieil homme sauvage, une nature sauvage, un enfant sauvage, une décharge sauvage et vous obtenez un cocktail sauvage mortel.
Le danger rôde dans les montagnes du Wyoming et la cruauté de certains humains est bien plus impitoyable que celle des bêtes dites féroces.
J’ai apprécié cette première lecture des aventures de Rizzoli et Isles. Le premier de la série m’attend quelque part.
Sharon m’a poussé* dans cette lecture. (son billet)
*Elle n’a pas eu besoin de forcer
La disparition de Maura de Tess Gerritsen, Presse de la Cité, 2013, 219 pages, Roman policier.
*ouais ** bon *** très bon **** j’aime
Le bémol du Papou : Je voyais Maura plus lucide dans ses relations humaines. Il est vrai qu’un médecin légiste n’a pas à prévoir ni à s’engager dans de futurs rapports avec ses clients.
Bonjour Papou
Je n’ai pas encore lu de Tess Gerritsen et j’avoue que ton papier et surtout sa notation ne m’y encouragent guère. On verra plus tard lorsque j’aurai lu les 18000 livres qui attendent dans ma bibliothèque…
Amitiés
Comme j’aime bien la série et surtout Sacha Alexander (en tout bien, tout honneur) Je voulais me rendre compte de la série bouquin. Ce n’est pas si mauvais. Mais, bon, avec avec le nombre de bouquins qui t’attend, je te comprends.
Amitiés
Le Papou
Je n’aime pas trop la série, alors je ne me précipiterai pas sur ce titre.
Comme on dit par icitte, c’est pas si tant si pire.
Le Papou
La série est sympa en tout cas 🙂
Oui, j’aime bien.
Le Papou
Merci pour toutes ces infos, voici une bonne lecture. J’ai appris différentes choses en vous lisant, merci à vous. Fabienne Huillet http://www.neonmag.fr
Merci d’être passée !
Le papou