*bagarre,rixe
Qu’il soit noir, juif ou arabe, un type bien est un type bien et un enfoiré sera toujours un enfoiré.
Guy Bedos
Une des connaissances de Nestor Burma , un peintre connu, lui demande d’élucider le meurtre d’une jeune femme d’origine sémite dont il vient de trouver le cadavre dans son appartement; après une soirée bien arrosée.
Ce premier client, sera bientôt suivi par un autre moins connu mais beaucoup plus dangereux, un caïd proxénète, qui recherche un homme de religion juive, et qui ne va pas hésiter à enlever la jolie secrétaire de Nestor pour faire pression sur notre détective.
Une juive morte, un juif recherché , Nestor n’aime pas les coïncidences et commence ses enquêtes dans le 4 ème arrondissement aux alentours de la rue des Rosiers où, à cette époque, sont installés de nombreux israélites.
Un journaliste fouille-merde qui disparaît, un caïd londonien en fuite, ancien collaborateur des allemands à Paris, un magot perdu et plusieurs commotions plus tard Nestor trouvera qui a assassiné la jeune juive et sauvera sa secrétaire tout en réussissant à satisfaire ses deux clients sans devenir complice du caïd.
Bon, j’aime les romans de Léo Malet et comme je n’en ai plus en stock, soit je relis les anciens soient je cherche des occases dans une librairie spécialisée…. à suivre
Du rebecca rue des Rosiers, Léo Malet, Le Livre de Poche 1957, 272 pages, Policier
*ouais ** bon *** très bon **** j’aime
Le bémol du Papou : Écrit en 1957, certains termes utilisés à cette époque ne seraient plus considérés comme acceptables par les éditeurs de nos jours où certains vocables choquent les bien pensants et surtout les personnes concernées.
Il se trouve que le politiquement correct n’est pas et ne sera jamais ma tasse de thé. Mon petit-fils n’est pas une personne à mobilité réduite, il est handicapé car atteint de paralysie cérébrale et, je l’aime mon petit handicapé.
Merci pour la traduction du titre. Je verrai les Rebecca d’un autre oeil.
fait mes petites recherches même si je connaissais l’expression argotique, mes origines parisiennes obligent, cela viendrait d’un vieux mot français se renéquer = se révolter
le papou